Mis en place depuis 2011, le programme « Education Thérapeutique en néphrologie » au CHU de Limoges a pour but d’accompagner les patients tout au long de leur maladie rénale, en particulier en pré et post transplantation rénale.
Le point fort de l’atelier présenté est le témoignage et la présence d’une patiente ayant suivi ce programme.
Les états membre de la Commission Européenne ont souhaité améliorer l’information des consommateurs sur les denrées alimentaires afin de renforcer leur sécurité (allergènes notamment) et afin qu’ils puissent faire un choix éclairé en matière d’alimentation.
Les établissements médico-social, notamment les EHPAD de part l’évolution démographique croissante des besoins en hébergements se voient contraints avec les fortes pressions économiques à explorer des solutions d’optimisation tant financières qu’organisationnelles.
L’EHPAD peut décider de déléguer ou concéder tout ou partie de ces missions ou assurer en interne les mêmes activités en fonction des moyens disponibles requis.
Ainsi, la performance de la fonction restauration s’oriente vers un changement tant des process que des modes de conservation. En effet, grâce aux nouvelles techniques, les organisations et les productions évoluent tout en garantissant la sécurité alimentaire et la salubrité environnementale.
Les progrès dans la prise en charge globale de l’enfant polyhandicapé ont permis une augmentation de l’espérance de vie des patients, mais de ce fait favorisent l’apparition d’une dénutrition (1). On estime actuellement qu’il y a 15 000 patients polyhandicapés âgés de moins de 20 ans dans notre pays. Selon les critères retenus de définition de la dénutrition et le type de population étudiée (à domicile ou institutionnalisée) la prévalence de la dénutrition peut varier de 15 à 80%.
« survenue de troubles graves de l’hydratation et des électrolytes sanguins, ainsi que de complications associées, lors de la renutrition de patients sévèrement dénutris » (Salomon 1990). Il peut apparaître au cours de la réalimentation quelle que soit la voie (orale, entérale, parentérale) de patients sévèrement dénutris. Facteurs de risque : dénutrition associée à des apports alimentaires faibles ou nuls depuis plus de 5 jours, hypophosphorémie, hypokaliémie, hypomagnésémie avant la renutrition. Population à risque accru : anorexie mentale avec IMC <13 kg/m2 (Guex 2011, Melchior 2007).
La région Limousin est la plus grande consommatrice de fibres alimentaires en France même si cela reste en dessous des apports nutritionnels conseillés. Ces substances glucidiques complexes d’origine végétale sont présentes dans de nombreux aliments sous forme soluble ou insoluble ce qui leur confère des propriétés cliniques bénéfiques sur le transit intestinal, certains cancers (coliques, rectaux, du sein), le diabète, les maladies cardiovasculaires, les dyslipidémies, l’obésité, la prévalence des AVC. Une alimentation diversifiée doit assurer un apport de 25 à 30g par jour.
La gastrostomie per-endoscopique (GPE) a déjà 35 ans. Les indications à la mise en place d’une sonde de gastrostomie restent les mêmes mais l’évolution de la technique permet de simplifier le geste, de limiter les complications et de mieux s’adapter à la pathologie sous-jacente.
Monsieur Le Professeur SEGUY, Service de l'appareil digestif et Lambling, CHRU de Lille, lors de la 11ème journée InterCLAN du Limousin a fait le point sur les avantages, les inconvénients et la gestion des complications liées aux méthodes endoscopiques (Pull, Push, et couplée à la coelioscopie), à la méthode radiologique (Introducer) et à la possibilité de mise en place immédiate d’un bouton (One time button).